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L'accueil du demandeur d'asile fuyant Daech ou les guerres récentes pèche en occident par une surdose de naïveté : on voit dans le réfugié son statut, pas sa culture ; il est la victime qui recueille la projection de l'occidental ou son sentiment de devoir humaniste ou de culpabilité. On voir le survivant et on oublie que le réfugié vient d'un piège culturel qui résume surtout son rapport à Dieu et à la femme. En occident, le réfugié ou l'immigré sauvera son corps mais ne va pas négocier sa culture avec autant de facilité, et cela, on l'oublie avec dédain. (fr) |