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Christiane Taubira conclut de manière humoristique sa réponse à une question où, dans le contexte de ses affirmations maladroites sur sa connaissance détaillée ou non des écoutes judiciaires des conversations téléphoniques entre l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog, et de l’exigence de sa démission de ses fonctions de garde des Sceaux et ministre de la Justice, formulée par divers membres de l’Union pour un mouvement populaire, les journalistes lui demandaient si « ça ne pas l’affaire Cahuzac, quand qu' pas au courant, alors que la DACG avait transmis 54 rapports . (fr) |