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Cette tension entre le sort et le libre arbitre s'apparente à une double causalité.
Chez Homère, les hommes reçoivent l'aide des dieux mais conservent « en même temps » une part de liberté puisqu'ils peuvent se ruer avec plus ou moins d'enthousiasme vers le destin et, parfois, entreprendre une manœuvre.
Les dieux mènent la danse. Ils le savent.
On peut les faire fléchir. Ils le savent aussi.
Le destin est en place mais il y a un intervalle dans l'écriture.
En somme, on peut sertir quelque chose dans la marqueterie du destin. (fr) |