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Ce que nous observons à propos de l'ensemble de la culture courante du journalisme et de ce qui se discute en général, c'est que les gens ne savent pas encore comment commencer à penser. Non seulement leur pensée n'est que de troisième ou quatrième main, mais elle démarre toujours aux trois quarts du processus. Les hommes ne savent pas d'où viennent leurs propres pensées. Ils ne savent pas ce que leurs propres mots impliquent. Ils débarquent à la fin de chaque controverse et ne savent rien de l'endroit où elle a commencé et de quoi elle retourne. Ils comptent constamment sur certains absolus qui, une fois définis correctement, leur feraient l'effet, même à eux, d'être des absurdités plutôt que des absolus. (fr) |