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Le vieillard était assis sur le plancher et ne se levait pas.
– Est-ce ainsi qu'on se sépare ? Idiot ! Ah ! voilà les gens de maintenant ! On a fait bon ménage toute une année, et puis : adieu ! et le voila loin. Mais moi je t'aime, j'ai pitié de toi ! Tu es si malheureux, toujours seul, toujours seul. Tu es mal aimé, on dirait ! Des fois je ne dors pas, je songe à toi, et j'ai pitié. Comme on dit dans la chanson :
Il n'est pas commode, non, frère,
De vivre en pays étranger.
C'est comme ça pour toi. (fr) |