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Soyez-moi propices, héros, race des Bienheureux ; puissent ces chants, d'année en année, être pour les hommes toujours plus doux à chanter. Me voici en effet parvenu au terme de vos glorieux travaux : aucune nouvelle épreuve ne vous est arrivée après votre départ d'Égine, ni aucune tempête ne s'est levée. Après avoir longé paisiblement la terre de Kécrops et Aulis qu'enserre l'Eubée, et les cités des Locriens d'Oponte, vous avez — avec quelle joie ! — mis le pied sur la côte de Pagase. (fr) |