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Mais pour conclure, je dis et je maintiens qu'il n'y a rien de tel comme torchecul qu'un oisillon bien duveteux, pourvu qu'on lui tienne bien la tête entre les jambes. Et croyez-moi sur mon honneur. Car vous sentez au trou du cul une volupté mirifique, tant par la douceur du duvet, que par la chaleur tempérée de l'oisillon, laquelle est facilement communiquée au rectum et autres intestins, jusqu'à venir à la région du cœur et du cerveau. (fr) |
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Mais concluent je dys et mantiens, qu'il n'y a tel torchecul que d'un oyzon bien dumeté, pourveu qu'on luy tienne la teste entre les jambes. Et m'en croyez sus mon honneur. Car vous sentez au trou du cul une volupté mirifique, tant par la douceur d'icelluy dumet, que par la chaleur tempérée de l'oizon, laquelle est communicquée au boyau culier et aultres intestines, jusques à venir à la région du cueur et du cerveau. (fr) |