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Vous n’avez ni la patience qui tisse les longues vies, ni le sentiment de l’irrégularité, ni le sens de la place la plus exquise d’une chose, … « L’intelligence, pour vous, n’est pas une chose comme les autres. vous l’adorez comme une bête prépondérante. Un particulier qu’elle enivre, compare sa pensée aux décisions des lois, aux faits eux-mêmes, nés de la foule et de la durée : il confond le rapide changement de son cœur avec la variation imperceptible des formes réelles et des Êtres durables. … C’est par cette loi que l’intelligence méprise les lois... et vous encouragez sa violence ! Vous en êtes fous jusqu’au moment de la peur. Car vos idées sont terribles et vos cœurs faibles. Vos pitiés, vos cruautés sont absurdes, sans calme, comme irrésistibles. Enfin, vous craignez le sang, de plus en plus. Vous craignez le sang et le temps. (fr) |