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En dernier ressort ces deux réalités appelées Bière et Savon se terminent par une émission de bulles ou un jet de mousse, comme on préfère. Aucune des deux ne peut certes prétendre au statut de religion, avec cette différence toutefois que si le savon profite à l'usine, la bière, en revanche, rend l'ouvrier plus heureux. Craignons avec le temps de voir fructifier la « religion » du savon et dépérir celle de la bière. Et attendons de voir si la religion de l'État servile n'est pas, hélas, telle que je l'ai décrite : l'essor des petites vertus favorisant le capitalisme et le déclin des grandes vertus qui le combattent. Maintes grandes religions païennes, sans parler de la chrétienne, ont accordé une place centrale au vin. Une seule, je crois, a privilégié le savon : celle des Pharisiens. (fr) |