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Argos, criai-je, Argos. »
Alors avec étonnement, comme s'il découvrait une chose perdue et oubliée depuis longtemps, Argos bégaya ces mots : « Argos, chien d'Ulysse. » Puis, toujours sans me regarder : « Ce chien couché sur le fumier. »
Nous accueillons facilement la réalité, peut-être parce que nous soupçonnons que rien n'est réel. Je lui demandai ce qu'il savait de lOdyssée. L'usage du grec lui était pénible ; je dus répéter ma question.
« Très peu, dit-il, moins que le premier rhapsode. Il y a déjà mille cent ans que je l'ai inventée. (fr) |