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La subjectivité vide de l'Occident est une subjectivité avide : elle ne tient pas en place. A la manière des poissons dont elle a pris le regard, elle se jette sur tout ce qui bouge, sur les miettes qu'on lui jette, sur tous les leurres. Car on lui a appris à ne désirer que des leurres et des leurres seuls peuvent la combler, -- à condition qu'il y en ait toujours d'autres, comme ces images télévisées dont les ministres européens de la Culture nous assurent que le flot ira grandissant. (fr) |